Par crainte des coups qui pleuvent
on le sait
plus volontiers sur les petits
Louis s’est réfugié
sous un parapluie
de poux.
Sous sa tignasse fauve
Louis prétend qu’il accueille
des parasites
en foules.
Les autres l’évitent
le laissent à ses livres
des romans épais
tissés d’aventures
des lectures où Louis
s’enfouit sous
la couverture.
Photo ∑mª.
jeudi 27 septembre 2007 à 8:41
Mais comment tu fais pour faire déborder l’image dans le cadre de droite ? J’adore l’effet produit. j’aime bien le texte aussi d’ailleurs.
RV
jeudi 27 septembre 2007 à 8:44
Rv, c’est toto-matique !
Ca arrive sur PC quand l’image est large comme jourdhui.
Je crois que l’effet disparait quand on élargit la fenêtre.
Bonne journée !
vendredi 28 septembre 2007 à 12:56
Joli ! Quelle est la part d’autobiographie ? C’est toi le petit chose ?
Bien amicalement.
vendredi 28 septembre 2007 à 7:55
Hello LL !
Pas de poux, ni de coups, merci.
Mais de bijoux, reliés, ça oui.
Et des genoux égratignés aussi.