J’aime assez être assis avant le point du jour face aux vignes – et plus loin la colline minime – quand le soleil encore ne s’est pas dévoilé mais que le jour est né et gagne lentement.
Le ciel se fait pastels et varie sans cesser ; si le vent souffle un brin les nuages s’en mêlent.
C’est un tableau sans prix offert aux matinaux.
Photo Ange7, Ramatuelle 2009.
* ° * // Et juste pour le geste, un article au hasard au milieu du bazar ! \\ * ° *